Histoire de numéros de parcs

1974 – 1992

Si pendant très longtemps, en fait depuis les premiers trolleybus en juillet 1947 jusqu’à la fin de l’année 1974 tous les véhicules SGTÉ avaient des numéros de parcs peints à calligraphies quasi identiques, l’arrivée du SMTC achetant de grandes séries d’autobus pour l’avènement de la SÉMITAG le 1er janvier 1975 obligea à changer de méthode.

Berliet Berliet PR 100-B n°352 PR 100-B n°352, le 1er juin 1974 :  sur la première série de ces véhicules, le numéro de parc a été peint.

Berliet PR 100-B n°358Berliet PR 100-B n°358, le 29 juillet 1974 au dépôt Anatole France.
Saviem SC 10 n°257Sur les Saviem SC 10, le numéro de parc était peint en très gros sur la face arrière.

Ici, le n°257 est vue au départ de la ligne 3, rue de Belgrade, le 30 mars 1979.

Saviem SC 10 n°233 et 231Le Saviem SC 10 n°233 au dépôt d’Eybens, le 15 janvier 1982, montre différents numéros de parcs peints : sur le pavillon, ou sous les vitres à l’avant.
Ensuite, C’est l’autocollant qui devint roi, pour un temps…

Sur les 16 Renault R-312, livrés à la fin de l’année 1991, le numéro de parc autocollant était « en creux », c’est-à-dire avec seulement le pourtour des chiffres de couleur différente de la carrosserie. Au printemps 1992, ils ont été changés pour des numéros de parcs comme on les connait actuellement, pleins.

R-312 n°908, en creuxN°908, au terminus La Luire de la ligne 13 le 27 mai 1992 : le numéro au dessus de la porte avant, au pourtour bleu.

R-312 n°910, en creuxLe n°910, toujours à La Luire, nous montre le numéro affiché sur la vitre arrière, en creux toujours, mais avec le pourtour blanc.
R-312 n°908, en creuxR-312 n°910, en creux

retour vers l’album photo de Jean-Marie